Ci-dessus, François-Paul Journe et Stéphane Barbier-Mueller. © Musée Barbier-Mueller, photo Luis Lourenço.
Un horloger de réputation internationale
F.P.Journe puise dans l’histoire pour conjuguer le futur de l’horlogerie. Sa grande culture horlogère lui permet de transmettre des techniques ancestrales à ses horlogers en construisant depuis plus de 40 ans des chronomètres de précision en petites séries, à la croisée des arts et de la haute horlogerie. F.P.Journe façonne à peine 900 instruments de mesure du temps chaque année, avec des calibres inédits en or rose précieux 18ct., une spécificité de la marque, qui lui ont valu les plus grands prix horlogers à travers le monde. Gravés de leur label « Invenit et Fecit » sur le cadran et le mouvement, ils garantissent un calibre Manufacture « inventé et fait » dans ses ateliers au centre de Genève.
Pour plus d’informations sur F.P. Journe, n’hésitez pas à consulter le site web de la manufacture.
Une Fondation en partage
F.P.Journe et le Musée Barbier-Mueller embrassent une curiosité insatiable, un goût de la beauté et de l’excellence, une volonté de transmission ainsi qu’une ouverture sur le monde qui les ont réunis autour des projets conduits par la Fondation culturelle Musée Barbier-Mueller.
Une Fondation contre l’oubli
C’est donc tout naturellement que F.P.Journe (en compagnie de Stéphane Barbier-Mueller sur la photo ci-dessus) soutient depuis trois ans le travail de la Fondation culturelle Musée Barbier-Mueller qui vise à conserver et à diffuser la mémoire de cultures en péril. La Fondation octroie des bourses à de jeunes chercheurs ou à des anthropologues confirmés qui mènent des études de terrain auprès de peuples dont les traditions sont menacées. Le résultat de ces enquêtes fait l’objet de publications monographiques.
Une collaboration depuis 2018
Cette association s’est concrétisée par la réalisation de trois projets menés par des chercheurs reconnus.
- Le Dr Ok-Kyung Pak chez les plongeuses jamnyo de l’île de Jeju en Corée du Sud. Protectrices de la mer et d’une culture en péril, ces femmes plongent en apnée tous les jours risquant leur existence pour pêcher et faire vivre leur famille.
- Le Pr Denis Ramseyer, chez les Kouya de Côte d’Ivoire. Il nous décrit un monde en grande partie disparu. La déforestation et le changement climatique, entre autres, ont transformé le mode de vie de ce peuple, fier de ses traditions.
- Le Dr Gustaaf Verswijver chez les Kararaô du Brésil central, un groupe d’Indiens Kayapo vivant au cœur de la forêt amazonienne. Oubliés du gouvernement brésilien, ils doivent faire face au fléau de la déforestation qui, conjugué à de multiples autres pressions, menace leur survie.
De nombreux événements
Ces études ont fait l’objet de nombreuses missions anthropologiques sur le terrain auprès des peuples concernés. La parution des publications s’est accompagnée de conférences, de tables rondes et d’expositions de photographies organisées par la Fondation, à Genève mais aussi à Paris.
Un dernier-né
Enfin, la dernière œuvre de la Fondation est la publication de la série d’ouvrages pour enfants Lola l’aventurière dont le premier conte illustré s’intitulant Oket et l’oiseau géant vient de paraître.